Sur le papier, le Cloud a tout pour plaire et séduire un grand nombre d’organisations. Mais dans les faits, il existe peu d’entreprises capables aujourd’hui de migrer 100% de leur Système d’Information (SI) dans le Cloud. De plus, les SI sont encore souvent composés d’applications legacy, sans option Cloud. Pour autant, elles sont utiles et utilisées, difficile de faire sans. De fait, une architecture du Système d’Information hybride peut sembler représenter le meilleure des 2 mondes avec la combinaison de services IT On Premise (contrôle, sécurité, stabilité) et de services IT basés sur le Cloud (flexibilité, évolutivité, efficacité opérationnelle). Cette démarche permet une transition progressive dans une démarche Move to Cloud, de faire évoluer les briques applicatives une par une, en imposant son rythme en fonction de ses besoins, des limitations ponctuelles liées à ses capacités techniques et ses contraintes métiers, et du contexte. Mais l’enjeu représenté par l’intégration d’un grand nombre de données hétérogènes réparties en différents systèmes ne doit pas être sous-estimé.
Intégration, gestion, sécurité : les défis d’une architecture informatique hybride
Données fragmentées dans le système d’information, tâches manuelles et redondantes, rigidités des processus peu évolutifs et parfois déconnectés des données du SI, complexité de la gestion d’une architecture hybride informatique, coûts importants engendrés par un manque d’industrialisation et de réutilisabilité des composants… Si les difficultés de la gestion d’un SI dans un contexte hybride sont nombreuses, rien n’est insurmontable. . Le système doit s’adapter à cet environnement hétérogène pour que l’organisation puisse bénéficier à la fois de la flexibilité et de l’évolutivité du Cloud tout en conservant le contrôle sur ses ressources. Pour répondre à cet enjeu, il est nécessaire de prendre de la hauteur et de structurer sa démarche. Voici donc les 3 principaux axes à prioriser :
Intégration des données
L’harmonisation des données hétérogènes se trouvant dans les systèmes sur site et les solutions Cloud est clé. Il faut en effet réussir à gérer et faire coexister des versions et de générations de logiciels différentes (certaines peuvent être très anciennes en fonction de la dette technologique de l’entreprise), avec des disparités de langages, de normes, de formats (parfois obsolètes) ce qui rend la communication particulièrement difficile. Sans cette harmonisation des données, les prises de décisions seront inefficaces et la mise en œuvre d’une solution de BI, par exemple, peu efficiente. C’est l’urbanisation du SI qui va assurer une communication fluide et en temps réel entre les différentes plateformes utilisées.
Interopérabilité entre processus et données : le cœur de l’agilité d’une entreprise.
Coordination et gestion dans une architecture hybride
Gérer la coordination des mises à jour applicatives et de données, des correctifs et des configurations entre les différentes infrastructures est un autre levier de réussite important. Car multiplier les applications en local et dans le Cloud sans préalablement structurer cet ensemble va brouiller la compréhension du système d’information. Par exemple, en cas d’erreur au sein du système il va être compliqué de trouver la source du problème. Assurer une bonne lisibilité c’est garantir la rapidité de la résolution d’erreurs dont va dépendre la performance de l’ensemble de l’entreprise. C’est-à-dire l’IT mais également tous les métiers ! Pour répondre à cet enjeu il faut cartographier les flux et mettre en place une supervision globale pour identifier sans délais les problèmes de circulation de la donnée.
Sécurité et conformité au sein d’un système d’information hybride
Garantir la sécurité des données lors des transferts entre les environnements représente le troisième axe majeur. Pour ce faire, il faut assurer la qualité et la conformité aux réglementations en matière de protection des données dans chaque environnement. Il peut être intéressant dans ce contexte de mettre en œuvre des scénarii de récupérations de données en cas d’urgence, et de réfléchir à un PCI (Plan de Continuité Informatique) et PRI (Plan de Reprise Informatique) pour dissoudre fortement l’impact d’un éventuel problème.
Plus généralement, l’automatisation d’échange de chaque processus, chaque fonctionnalité et chaque décision facilitent réellement le quotidien d’une organisation. Avec une intégration et un partage facilité de données hétérogènes, celle-ci est plus efficace, agile et dispose d’un time-to-market réduit.
Comment Phoenix répond à cet enjeu d’intégration des données dans une architecture informatique hybride ?
Phoenix est une plateforme d’échange de données et d’automatisation des processus réunissant les modules suivants :
- Un Data Catalogue pour cartographier l’ensemble des données structurées ou non structurées, où qu’elles se trouvent.
- Un ESB (Enterprise Service Bus) pour l’intégration des données et les connexions inter-applicatives.
- Un MDM (Master Data Management) pour la synchronisation et la mise en qualité des données.
- Un BPM (Business Process Management) pour la digitalisation et l’automatisation des processus métiers.
- Un portail d’exposition des API pour exposer les données en dehors du SI en leur appliquant des règles de sécurité et de gestion.
La distinction entre ESB et ETL n’a plus de sens face aux besoins métiers !
Notre plateforme est donc parfaitement structurée pour répondre aux 3 grands défis représentés par l’intégration des données dans une architecture hybride informatique :
- Phoenix permet la mise en œuvre d’une communication inter-applicative en lieu et place de la traditionnelle communication point à point à l’origine du syndrome « plat de spaghetti » peu efficace dans un contexte de Cloud hybride. Il s’agit donc de recourir à une architecture orientée service (ou SOA pour Service-Oriented Architecture) supporté par l’ESB. Dans le cas d’un changement d’ERP par exemple, il faudrait réécrire toutes les interfaces applicatives du SI (de bout en bout) dans un contexte point à point. Alors qu’il suffira de se concentrer sur la communication entre le nouvel ERP et le bus applicatif (l’ESB) dans un contexte SOA, l’impact étant quasi nul sur les applications du système. Ce qui représente un énorme gain de temps dans la maintenabilité et l’évolutivité du SI.
- La supervision des flux apporte une vue globale et centralisée pour faciliter la gestion des données grâce aux portails de supervision Low Code dédiés de la
- Phoenix permet la mise en œuvre d’une communication inter-applicative en lieu et place de la traditionnelle communication point à point à l’origine du syndrome « plat de spaghetti » peu efficace dans un contexte de Cloud hybride. Il s’agit donc de recourir à une architecture orientée service (ou SOA pour Service-Oriented Architecture) supporté par l’ESB. Dans le cas d’un changement d’ERP par exemple, il faudrait réécrire toutes les interfaces applicatives du SI (de bout en bout) dans un contexte point à point. Alors qu’il suffira de se concentrer sur la communication entre le nouvel ERP et le bus applicatif (l’ESB) dans un contexte SOA, l’impact étant quasi nul sur les applications du système. Ce qui représente un énorme gain de temps dans la maintenabilité et l’évolutivité du SI.
- La supervision des flux apporte une vue globale et centralisée pour faciliter la gestion des données grâce aux portails de supervision Low Code dédiés de la
- Phoenix permet la mise en œuvre d’une communication inter-applicative en lieu et place de la traditionnelle communication point à point à l’origine du syndrome « plat de spaghetti » peu efficace dans un contexte de Cloud hybride. Il s’agit donc de recourir à une architecture orientée service (ou SOA pour Service-Oriented Architecture) supporté par l’ESB. Dans le cas d’un changement d’ERP par exemple, il faudrait réécrire toutes les interfaces applicatives du SI (de bout en bout) dans un contexte point à point. Alors qu’il suffira de se concentrer sur la communication entre le nouvel ERP et le bus applicatif (l’ESB) dans un contexte SOA, l’impact étant quasi nul sur les applications du système. Ce qui représente un énorme gain de temps dans la maintenabilité et l’évolutivité du SI.
- La supervision des flux apporte une vue globale et centralisée pour faciliter la gestion des données grâce aux portails de supervision Low Code dédiés de la
- Phoenix permet la mise en œuvre d’une communication inter-applicative en lieu et place de la traditionnelle communication point à point à l’origine du syndrome « plat de spaghetti » peu efficace dans un contexte de Cloud hybride. Il s’agit donc de recourir à une architecture orientée service (ou SOA pour Service-Oriented Architecture) supporté par l’ESB. Dans le cas d’un changement d’ERP par exemple, il faudrait réécrire toutes les interfaces applicatives du SI (de bout en bout) dans un contexte point à point. Alors qu’il suffira de se concentrer sur la communication entre le nouvel ERP et le bus applicatif (l’ESB) dans un contexte SOA, l’impact étant quasi nul sur les applications du système. Ce qui représente un énorme gain de temps dans la maintenabilité et l’évolutivité du SI.
- La supervision des flux apporte une vue globale et centralisée pour faciliter la gestion des données grâce aux portails de supervision Low Code dédiés de la plateforme Blueway. Ils proposent des objets réexploitables pour une meilleure efficacité opérationnelle et une plus grande maintenabilité grâce à des services « imbriquables » et « appelables » entre eux (comme des batchs ou des webservices par exemple). On trouve également différents supports et connecteurs basés sur des modèles génériques qui vont structurer un modèle de données réexploitables dans différents contextes. Enfin, des fonctions issues de la bibliothèque Blueway ou enrichies manuellement vont permettre de gagner du temps dans le traitement des opérations.
- La vue globale apportée par le dashboard apporte à la fois un contrôle des flux traités et le détail de chaque opération, un contrôle des déploiements sur une vue de tous les objets déployés, une planification des traitements pour maitriser le déclenchement de batchs et la création d’alertes propres à votre exploitation courante. C’est grâce à cette analyse des dépendances entre tous les objets de la plateforme qu’il est possible de sécuriser le transport des données en d’assurer la persistance des messages délivrés. Ce qui sera fort utile pour les procédures de reprise en cas d’interruption de communication et la mise en place rapide de correctifs, tout en limitant les effets de bord lors d’un changement de règle de gestion par exemple.
Phoenix vous permet donc de connecter vos applications, de visualiser et de synchroniser vos données, automatiser vos processus et exposer vos API sur une plateforme unique, low-code et évolutive. Pour aller plus loin et découvrir 3 cas d’usages sur l’intégration des données dans une architecture hybride informatique avec Blueway, découvrez notre webinar en partenariat avec Synolia !
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